C’est dingue comme les étoiles inspirent les auteurs et les hommes.
Certains soirs, elles scintillent de mille feux et pourtant, leur strass n’est que de la lumière morte, ce qui confirme que la vie et la mort finissent toujours par se rejoindre.
Ces soirs là, on les observe au clair de lune.
Les étoiles filantes sont une représentation du bonheur...le vrai.
Et puis certains soirs, il n’y a rien, on ne voit rien, comme si le ciel était une masse pétillante ayant perdu ses bulles.
Comment était le ciel le soir où Charlotte Brontë écrivit ceci ? « Je me répète chaque fois : de même que des murs de pierre ne constituent pas une prison, ni des barreaux de fer une cage, de même, aussi longtemps que le corps est sain et les facultés libres de toute contrainte, le péril, la solitude et un avenir incertain ne sont pas des maux accablants – aussi longtemps, surtout, que la Liberté vous prête ses ailes et que l’Espoir vous guide de son étoile ».
Les étoiles reviennent souvent au fil des chapitres de ses livres.
Comment était le ciel hier au soir? Ce matin ?